Notre Histoire

1970
October
Founded
Le début du centre d'accueil pour les jeunes
The history of head & hands

En octobre 1970, Mark Earley et Pat Crawshaw, de travailleurs de rue du YMCA, se sont séparés du programme, ont obtenu un financement indépendant, et ont ouvert un centre d’accueil qui définissait les services aux jeunes selon ses propres termes. Cet organisme historique, affectueusement connu sous le nom de ” Head & Hands ” dans la communauté montréalaise de NDG était, comme c’est le cas aujourd’hui, animé par la mission de fournir aux jeunes les outils dont ils ont besoin pour prendre des décisions éclairées concernant leur bien-être physique et mental. Au début, les services comprenaient la gynécologie, la médecine générale, les cliniques dentaires, le counseling et l’artisanat.

1995
Le nom

En 1995, un nom français a été créé et voté par un groupe de jeunes : À deux mains/Head & Hands Inc.

Depuis 30 ans
Dimanche au soleil

Pendant trente ans, À deux mains a coordonné “Dimanche au soleil”, un événement estival populaire qui a réuni musiciens, artisans, organismes de services communautaires et membres de la communauté pour une journée de plaisir et d’éducation.

2003
J2K

En 2003, suivant l’exemple des jeunes qui fréquentent notre centre d’accueil, J2K, nous avons mis sur pied une vitrine musicale intitulée Street Vibes, organisée par ces jeunes et mettant en vedette ces derniers.

2005
The Sense Project

En 2005, nous avons reçu une subvention de démarrage initiale pour élaborer un programme d’éducation sexuelle par les pairs (le Projet Sens) parce que nous croyons qu’il est important pour les jeunes de connaître la sexualité afin qu’ils puissent prendre des décisions habilitantes en ce qui concerne leur santé sexuelle.

À deux mains est l’un des seuls organismes sans but lucratif survivants à être issu du mouvement des ” cliniques gratuites ” des années 1970 à Montréal. La collectivité de NDG appuie fermement notre travail depuis plus de quatre décennies, se mobilisant pour nous aider à reconstruire après deux incendies et à obtenir du financement lorsque nous avons fait face à la menace très réelle de fermeture en raison des compressions budgétaires.

« Ils voulaient que les jeunes aient un endroit où aller et où ils pouvaient faire confiance aux personnes qui travaillaient avec eux »
Sharon Sweeney
Ancienne organisatrice de Sunday in the Park